La crémation avec les pompes funèbres Hommage funéraire à Aix en Provence

Hommage funéraire pompes funèbres à Aix en Provence organise la crémation.

La crémation est un processus funéraire dans lequel le corps d'une personne décédée est incinérée plutôt que d'être enterrée. Les pompes funèbres Hommage Funéraire à Aix-en-Provence sont une entreprise spécialisée dans les services funéraires, y compris la crémation.

Hommage funéraire s'occupe de tout, il vous accompagne avec une présence de tous les instants au delà des prestations ci dessous mentionnées :

- Formalités administratives 
- Préparation du corps
- Choix de l'urne : Hommage funéraire vous proposera une sélection d'urnes funéraires parmi lesquelles vous pourrez choisir celle qui convient le mieux à vos préférences.
- Cérémonie de crémation : Hommage Funéraire s'occupera de l'organisation de la cérémonie de crémation. Cela peut se dérouler dans un crématorium choisi par la famille,
- Remise des cendres : Une fois la crémation terminée, les cendres seront récupérées et remises à la famille dans l'urne choisie. Hommage Funéraire peut également vous fournir des conseils sur les différentes options de dispersion des cendres, si vous le souhaitez.

En France, selon le site Meilleures Pompes Funèbres, le taux de crémation des défunts, a atteint 41% voire 42% en 2022. 

En région PACA le taux de crémation représente plus de la moitié des obsèques avec un pic atteint entre 2018 et 2019 à plus de 54%, selon le rapport annuel 2021 du délégataire "Crématoriums de France".

C'est un mode d'obsèques que la population du sud de la France semble fortement privilégier. Il semble donc qu'une personne sur deux soit concernée par cette préférence et que vous, qui êtes en train de consulter cette article, soyez attaché(e) à ce mode de "sépulture".

La crémation a ses avantages et comme toujours, les avantages vont de paire avec certains inconvénients qu'il conviendra à chacun d'arbitrer.

L'agrandissement des cimetières

Tout d'abord, la question du foncier pousse les communes à optimiser leur gestion des cimetières afin de limiter leur emprise au sol et leur éventuel besoin d'extension. 
Ainsi nombre de communes tentent de gérer au plus près la reprise des concessions en état d'abandon, par exemple.
L'urbanisation cantonne de plus en plus les cimetières dans leur "lopin carré", étant donnée l'obligation qui leur est faite de conserver leur éventuelle extension d'enceinte à une distance au moins égale à 200 mètres de toute habitation. (Contrainte qui ne semble pas exister dans l'autre sens).  

Les cimetières sont donc voués à assurer une maîtrise la plus parfaite possible pour être en mesure de ne pas se retrouver en quelque sorte, "asphyxiés" par un manque de places pour ses administrés défunts. 

La solution de la crémation

On se tournera donc plus volontiers vers la crémation dès lors que l'on considèrera la pertinence du règlement de ce problème de place...    ...en n'en prenant pas.

Ainsi, pensant bien faire d'un côté pour la planète en cessant d'occuper un espace naturel  toujours plus grapillé par l'urbanisation, et ici donc, les éventuelles extensions possibles des cimetières, nous nous dirigeons vers la crémation.  

Se faisant, nous orientons notre impact sur la nature d'une autre manière. 
 
Car en effet, bien que notre corps n'occupera plus de place dans un cimetière (sauf modérément pour ceux qui désirent y inhumer une urne), nous allons générer un autre type de pollution, tel qu'un besoin de consommation d'énergie tant pour la construction du bâtiment du crématorium que pour la consommation d'énergie qu'il faudra pour procéder à la crémation de notre corps. 
De même, si l'on ajoute à cela les éventuels solvants, colles et encres contenus dans les cercueils et capitons, la pollution s'accroit d'autant.

Alors soyons tout de même, honnêtes. Les crématoriums font tout ce qu'ils peuvent pour juguler cette pollution. Cela se passe au travers de l'utilisation massive de filtres de capture, afin de ne laisser s'échapper que le moins de pollution possible au cours du processus de crémation. Et par ailleurs, ils font appel au maximum à la valorisation des "déchets" de crémation. (principalement la valorisation des métaux).

Donc, nous voyons bien ici qu'il n'existe pas de solution idéale en France, logistiquement parlant, pour le devenir de nos corps.

C'est à chacun de choisir le mode de "sépulture" qui lui conviendra le plus au moment de son décès, ou malheureusement au moment où l'on en a besoin pour un proche disparu.